Le calme du soir. Je promène mon vide. L’air de rien. Le silence. Mes pensées sont vacantes, ma tête anorexique. Longtemps. Je survole, bizarre, j’erre à la vie. J’ai démissionné l’idéal et absorbé le quotidien. Je dis bonjour, bonsoir… quand tout va bien. Je ne suis pas satisfait. Et je ne sais pas. Je cherche encore ce qui ne va pas.